• IMAGES DU PAYS :Le campement de l'oasis, dans la vallée du Dadès.

    Les dunes de Merzouga


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  •  FLORILEGE : Amin Maalouf

     

     Lorsque la foi devient haineuse, bénis soient ceux qui doutent !

    Le Périple de Baldassare

     

    Lorsque l'esprit des hommes te paraîtra étroit, dis-toi que la terre est vaste. N'hésite jamais à t'éloigner, au-delà de toutes les mers, au-delà de toutes les frontières, de toutes les patries, de toutes les croyances.

    Léon l'Africain

     

    La sagesse est la vertu oubliée de notre temps. Un savant qui n'est pas aussi un sage est, soit dangereux, soit, dans le meilleur des cas, inutile.

    Le premier siècle après Béatrice

     

    Quand on est riche, en or ou en savoir, on doit ménager l'indigence des autres.

    Léon l'Africain

     

    Chacun d'entre nous devrait être encouragé à assumer sa propre diversité, à concevoir son identité comme la somme de ses diverses appartenances, au lieu de la confondre avec une seule, érigée en appartenance suprême, et en instrument d'exclusion, parfois en instrument de guerre

    Les Identités meurtrières

     

    Parmi les ingrédients qui composent la vraie sagesse, on oublie trop souvent la lampée de folie.

    Le Périple de Baldassare

     

    Le pays dont l’absence m’attriste et m’obsède, ce n’est pas celui que j’ai connu dans ma jeunesse, c’est celui dont j’ai rêvé, et qui n’a jamais pu voir le jour

    lorsqu'on sent le monde sur le point de chavirer, quelque chose dérègle : les hommes sombrent soit dans l'extrême dévotion soit dans l'extrême débauche

    Les désorientés

     

    "Beaucoup d'Européens ont une femme et une maîtresse, avec des enfants de l'une et de l'autre; mais si l'islam dit qu'on peut épouser les deux, c'est l'idée d'un double mariage qui devient scandaleuse, outrancière, immorale, et c'est la liaison illégitime qui devient respectable."

    Les désorientés

     

    Ce n'est jamais l'amour qui nous trahit c'est nous qui trahissons l'amour

    L'Amour de loin

     

    Le bonheur s'embusque dans la monotonie.

    Samarcande

     Amin Maalouf: Ecrivain francophone d’origine libanaise,membre de l'Académie Française.

     


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  • MES POEMES D'AMOUR : Tendre sauvageonne

     

     TENDRE SAUVAGEONNE

     

    Dans la forêt mythique où mes rêves sauvages

    Vont la nuit échouer, naissant de nulle part

    Tel un fameux trésor décelé quelque part,

    Une diane à l’affut  mon coeur prend en servage

     

    L’amazone fantasque aux grâces de félins

    Parée de pouvoirs, appas d’une démone,

    M’entraîne dans son fief de tendre sauvageonne

    Palais voluptueux aux reflets cristallins

     

    Sa passion sulfureuse embrasant tout l'essence

    Révèle brusquement sa fine quintessence

    Sublimes fragrances à l’extrait naturel

     

    Tels des rêveurs errant à l’orée de deux mondes

    Au gré de leurs élans, bravant le temporel

    Nous savourons épris, l’ivresse vagabonde

    *Nomad*


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  • IMAGES RIGOLOTES :


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  • SPIRITUALITE : Changement

     

    On a l'impression de changer alors qu'on ne fait que prospérer spirituellement en accumulant des savoirs, des expériences ou des pratiques... Le changement véritable vient d'un abandon, pas d'une accumulation.

    Yvan Amar


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    SAGESSE : Violence

     

     L'AUTRE N'A SUR NOUS QUE LE POUVOIR QU'ON LUI ACCORDE!

     

    Un jour Bouddha se fit insulter !

    Ce jour là, dans la foule venue l’écouter se trouva un homme que le Bouddha exaspérait, à tel point qu’il finit par lui hurler des insultes et à l’issue de quoi, il s’en alla rouge de colère.

    Longeant les rizières du village, sa colère s’apaisa et petit à petit, un profond sentiment de honte l’envahissait.
    « Comment ai-je pu me comporter ainsi ? » Pensait-il. Il décida alors de revenir au village et de demander pardon à Bouddha pour lui avoir proféré des insultes.

    Arrivant devant ce dernier, il se prosterna et demanda pardon pour la violence de ses propos.
    Bouddha, débordant de compassion, le releva, lui expliquant qu’il n’avait rien à pardonner.
    Etonné, l’homme rappela les injures proférées.

    - « Que faites-vous si quelqu’un vous tend un objet dont vous n’avez pas usage, ou que vous ne voulez pas ? » lui demanda Bouddha.

    - « Et bien, je ne le prends simplement pas » remarqua l’homme.

    - « Que fait alors le donateur ? » s’enquiert Bouddha.

    - « Ma foi, il garde son objet » répondit l’homme.

    - « C’est sans doute pourquoi vous semblez souffrir des injures et des grossièretés que vous avez proférées. Quant à moi, rassurez-vous, je n’ai pas été accablé. Cette violence que vous donniez, il n’y avait personne pour la prendre » répondit le sage.

    Auteur inconnu

    …………………………………………………………………………………………………..

    Comme dans cette histoire, l’agressivité verbale dont nous sommes éventuellement la cible, ne peut nous atteindre et nous affecter si nous ne lui laissons aucune prise sur nous. Pour cela, il est souhaitable de ne rien prendre personnellement. Nous pouvons accueillir cette agressivité de manière détachée, en considérant que ces paroles appartiennent à la personne qui les a proférés ».

    Ainsi, quels que soient les mots « déversés » à notre encontre, il ne peut y avoir de «prise» sur nous et donc, aucune emprise.

    N’ayant atteints « l’objectif visé », ils reviennent à celui ou celle qui les a « lancé », et ce avec autant de force.

    Comme lorsqu’une personne projette sa colère sur autrui, elle lui appartient ! En y réfléchissant, elle peut s’apercevoir qu’en réalité cette colère vient lui parler de ses propres faiblesses (impuissance, manque d’affirmation, laxisme…), c’est donc contre elle, qu’elle est en colère.

    Geneviève MARTIN BOISSY , Psychopraticienne, Ecrivain

     


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    SPIRITUALITE : Coeur et esprit

     

     La tête est incapable de communier. La seule chose qu'elle puisse faire est disséquer, analyser, fragmenter la réalité. Le coeur synthétise, relie, réunit, fusionne ce qu'il perçoit. L'homme qui regarde à travers son coeur voit le monde comme un tout organique indivisible. Pour la tête par contre, le monde est une multitude d'atomes. L'Un que seul le coeur peut découvrir est ce qu'on appelle Dieu, le divin.

    Osho


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    CITATIONS D'AUTEURS : Paulo Coelho

     

    L’amour est une force sauvage. Quand nous essayons de le contrôler, il nous détruit. Quand nous essayons de l’emprisonner, il nous rend esclaves. Quand nous essayons de le comprendre, il nous laisse perdus et confus.

    Le Zahir de Paulo Coelho


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    SAGESSE : Gengis khan et son aigle

     

     

    Gengis khan et son aigle

     

    Un matin, le guerrier mongol Gengis Khan et sa cour partirent à la chasse. Tandis que ses compagnons emportaient arcs et flèches, Gengis Khan portait sur le bras son faucon favori, qui était meilleur et plus précis que n’importe quelle flèche, parce qu’il pouvait s’élever dans les cieux et voir ce que l’être humain ne voit pas.
    Cependant, malgré tout leur enthousiasme, ils ne trouvèrent rien. Déçu, Gengis Khan regagna son campement, mais pour ne pas se décharger de sa frustration sur ses compagnons, il se sépara du cortège et décida de cheminer seul.
    Ils étaient restés dans la forêt plus longtemps que prévu, et Khan mourait de fatigue et de soif. A cause de la chaleur de l’été, les ruisseaux étaient à sec, il ne trouvait rien à boire, et puis, miracle ! Il vit devant lui un filet d’eau qui descendait d’un rocher.
    Immédiatement, il détacha le faucon de son bras, prit la petite coupe en argent qu’il portait toujours avec lui, mit un long moment à la remplir, et, alors qu’il était sur le point de la porter à ses lèvres, le faucon prit son vol et lui arracha la coupe des mains, la jetant au loin.

    Gengis Khan était furieux, mais c’était son animal favori, peut-être avait-il soif lui aussi. Il saisit la coupe, nettoya la poussière et la remplit de nouveau. Le verre à demi-plein, le faucon l’attaqua à nouveau, renversant le liquide.
    Gengis Khan adorait son animal, mais il savait qu’il ne pouvait tolérer en aucune circonstance qu’on lui manquât de respect; quelqu’un pouvait assister de loin à la scène, et plus tard raconter à ses guerriers que le grand conquérant était incapable de dompter ne serait-ce qu’un oiseau.
    Cette fois, il tira son épée de sa ceinture, s’empara de la coupe, recommença à la remplir, gardant un oeil sur la coupe et l’autre sur le faucon. Dès qu’il vit qu’il y avait assez d’eau, il se prépara à boire, alors le faucon prit de nouveau son vol et se dirigea vers lui. Khan, d’un coup précis, lui transperça le coeur.
    Mais le filet d’eau avait séché. Décidé à boire d’une manière ou d’une autre, il grimpa sur le rocher pour trouver la source. A sa surprise, il y avait vraiment une nappe d’eau et, au milieu, mort, l’un des serpents les plus venimeux de la région. S’il avait bu l’eau, il aurait quitté le monde des vivants.
    Khan revint au campement avec le faucon mort dans les bras. Il fit fabriquer une reproduction en or de l’oiseau, et il grava sur une aile :
     » Même quand un ami fait quelque chose qui ne plait pas, il reste un ami.  »
    Sur l’autre aile, il fit écrire :
    « Toute action motivée par la fureur est une action vouée à l’échec. »

    Extrait du livre de , Comme le fleuve qui coule.


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