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    EXTRAITS :

     

    POURQUOI REVE-T-ON ?

     En fait il faut commencer par le début.
    Le sommeil a une fonction réparatrice, récupératrice.
    Il possède trois phases, le sommeil lent léger, le sommeil lent lourd et enfin le sommeil paradoxal (periode de rêves).
    Chaque cycle dure environ 1 h 30 à 2 h, donc nous rêvons plusieurs fois dans la nuit. On peut comparer notre cerveau à un ordinateur dans ce cas, le rêve ayant une fonction de defragmentation, c’est-à-dire, durant le rêve, nos souvenirs se mettent en place.
    Chez les bébés le rêve a pour fonction de mettre en place la mémoire. D’ailleurs, plus on vieillit, moins on rêve.
    Le rêve est encore peu connu, mais sa fonction principale est de réorganiser les souvenirs que nous avons accumulés dans la journée. Il peut aussi évoquer des malaises que l’on a dans la vie, tout comme nos bonheurs quotidiens, ils sont l’expression la plus claire de ce que nous sommes.
    Le rêve est nécessaire à la vie, sans rêve nous mourons. Nous avons besoin de rêver afin que notre cerveau effectue sa « maintenance quotidienne ».


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  •  MES POEMES GRIVOIS: Minette

     

    MINETTE

     Minette, ma joliette,

    Tu m’assassines,

    Quand tu te balances, ô nymphette!

    Quand tes yeux me transpercent de fléchettes

    Quand tu joues de ta voix fluette

    Tu es à croquer comme une crevette!

    Cours-tu après une amourette

    Ou d'une simple amusette?

    Que dirais-tu d’une virée en voiturette

    à la guinguette

    Pour un brin de causette?

    Hélas ! tu rêves d’une vie de starlette

    Un destin de coquette et de conquête :

    paillettes, chaînettes, courbettes..

    Et moi je rêve..

    D’une tendre midinette

    Un brin pimpette

    Drôlement follette

    Aux yeux de bichette

    Que j’emmènerai en mobylette

    au bal musette

    Pour lui conter fleurette

    déguster une anisette

    Lui susurrer d'ardentes odelettes

    Etre son poète

     

    *Nomad*
     


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  • LEGENDES : Légende de l'âme-soeur

     

    LA LEGENDE DE L'AME-SOEUR

     

    La notion d’âme soeur vient du texte « Le Banquet » écrit par le philosophe grec Platon. Il raconte qu’auparavant il existait des créatures à la fois mâle et femelle, ayant quatre pieds, quatre mains, deux têtes : les androgynes. Ces êtres étaient devenus trop puissants.
    Ils étaient si forts qu’ils tentèrent d’escalader le ciel pour y combattre les dieux.

    Zeus dut se résoudre à leur infliger une leçon. Il décida de les couper en deux .Quand l’homme primitif eut été dédoublé par cette coupure, chacun, regrettant sa moitié, tentait de la rejoindre. S’embrassant, s’enlaçant, l’un à l’autre, désirant ne former qu’un seul être.

    Mais parce qu’ils ne voulaient rien faire l’un sans l’autre, et quand une des moitiés mourrait et que l’autre survivait, la moitié survivante en cherchait une autre et s’enlaçait à elle, ce que nous appelons aujourd’hui la moitié d’une femme ou la moitié d’un homme, alors l’espèce risquait de s’éteindre et Zeus eut pitié de l’homme. Il leur fabriquat des organes de génération et fit que par ce moyen, les hommes engendrèrent les uns dans les autres, par l’organe mâle dans celui de la femelle.

    C’est de ce temps lointain que date l’Amour inné des hommes les uns pour les autres, celui qui rassemble des parties de notre nature ancienne, qui de deux êtres essaient d’en faire un seul, et de guérir ainsi la nature humaine

    C’est le thème de l’amour fusionnel d’une complétude par la recherche de l’autre. C’est l’interprétation romantique par excellence, celle de la jeune fille qui attend son prince charmant et rêve d’amour sans nuage et d’entente parfaite entre des êtres qui se complètent.

    Platon a bien décrit le destin de chacun de nous : trouver notre autre moitié.


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    SPIRITUALITE: CONSCIENCE

     

    CONSCIENCE

     

    Elève ta conscience et découvre que tu es sans âge. Tu es aussi jeune que le temps, aussi vieux que l'éternité. En vivant pleinement et de manière splendide dans l'éternel présent, tu es toujours aussi jeune que le présent. Tu renais constamment dans l'Esprit et la Vérité. Tu ne peux pas demeurer statique dans cette vie spirituelle; il y a toujours quelque chose de nouveau et de passionnant à apprendre et à faire.
    La vigilance te garde toujours alerte et jeune. C'est lorsque le mental devient vieux et ennuyeux que la vie perd toute son étincelle et tout son zeste. Si tu n'arrives pas à comprendre une nouvelle vérité avec le mental, reste calme et élève ta conscience, accorde-toi avec l'Intelligence universelle infinie et sois un avec elle, avec Moi, et tu pourras comprendre toute chose. Garde ton esprit alerte, et jamais tu ne pourras vieillir. La fontaine de jouvence est ta conscience; la joie de vivre est l'élixir de vie !

    Eileen Caddy, La petite voix


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    HUMOUR :Test d'intelligence

     

    TEST D'INTELLIGENCE?

     

    Le petit Thomas demande à sa maîtresse s’il peut lui parler après le cours. Elle accepte
    - Alors, que veux tu me dire Thomas ?
    - Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je m’embête ! Je voudrais passer directement au Lycée. Sur ce, le directeur informé, demande à Thomas s’il veut bien passer des tests, Thomas accepte sans hésiter. Le directeur, décidé à faire fort pour clore l’entretien rapidement, commence le test.
    - Voyons voir Thomas : 36 x 49 ?
    - 1764 !…
    - Et 363 x 363 ?
    - 131769, M. le directeur…
    - Capitale du Liechtenstein ?
    - Vaduz !Le test continue pendant une demi-heure, Thomas ne fait aucune erreur. A la fin du test, le directeur est satisfait mais la prof demande si elle peut à son tour lui poser des questions.

     

    Tous les deux acceptent, la prof commence.
    - Bon, … Thomas, … la vache elle en a 4 et moi j’en ai 2, qu’est ce que c’est ?
    - Les jambes, Madame !
    - Correct. Qu’est-ce qu’on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ?
    Le directeur s’étonne de la question… -- Des poches, Madame !
    - Où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ?
    Le directeur se prépare à intervenir lorsque Thomas répond :
    - En Afrique, Madame !
    - Qu’est-ce qui est mou mais qui, avec les mains d’une femme, devient dur ?
    Le directeur ouvre grands les yeux, mais avant qu’il ait eu le temps de parler Thomas répond :
    - Le vernis à ongles, Madame !
    - Qu’est-ce que les hommes et nous avons au milieu des jambes ?
    - Les genoux, Madame !
    - Bien, et qu’est-ce qu’une femme mariée a de plus large qu’une femme célibataire ?
    le directeur n’en croit pas ses oreilles .
    - Le lit, Madame !
    - Quelle est la partie de mon corps qui est souvent la plus humide ?
    - Votre langue, Madame !
    - Quel mot commençant par la lettre C… désigne quelque chose qui peut être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ?
    - Le ciel, affirme Thomas.
    Le directeur soufflant, transpirant comme un sauvage, décide d’arrêter le test et s’exclame :
    - Ce n’est pas au lycée que je vais t’envoyer mais directement à l’Université ! Même moi j’aurais tout raté à ce test…

    Morale de l’histoire : c’est avec l’âge que l’on devient pervers…


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  • SAGESSE DES CONTES :Le bonheur

     

    LA CITHARE DU BONHEUR

     
    C’était un homme droit et sincère qui cherchait le chemin du bonheur, qui cherchait le chemin de la vérité. Il alla un jour trouver un vénérable maître soufi dont on lui avait assuré qu’il pourrait les lui indiquer. Celui-ci l’accueillit aimablement devant sa tente et, après lui avoir servi le thé à la menthe, lui révéla l’itinéraire tant attendu : « C’est loin d’ici, certes, mais tu ne peux te tromper : au coeur du village que je t’ai décrit, tu trouveras trois échoppes. Là te sera révélé le secret du bonheur et de la vérité. »
    La route fut longue. Le chercheur d’absolu passa maints cols et rivières. Jusqu’à ce qu’il arrive en vue du village dont son coeur lui dit très fort : « C’est là le lieu ! Oui, c’est là ! » Hélas ! Dans chacune des trois boutiques il ne trouva comme marchandises que rouleaux de fils de fer dans l’une, morceaux de bois dans l’autre et pièces éparses de métal dans le troisième. Las et découragé, il sortit du village pour trouver quelque repos dans une clairière voisine.
    La nuit venait de tomber. La lune remplissait la clairière d’une douce lumière. Lorsque tout à coup se fit entendre une mélodie sublime. De quel instrument provenait-elle donc ? Il se dressa tout net et avança en direction du musicien. Lorsque, stupéfaction, il découvrit que l’instrument céleste était une cithare faite de morceaux de bois, des pièces de métal et des fils d’acier qu’il venait de voir en vente dans les trois échoppes du village.
    A cet instant, il connut l’éveil. Et il comprit que le bonheur est fait de la synthèse de tout ce qui nous est déjà donné, mais que notre tâche d’hommes intérieurs est d’assembler tous ces éléments dans l’harmonie.

    Conte soufi


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  • PHOTOS DU PAYS: MEKNES (Bab Mansour)


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  • SAGESSE DES CONTES : Les mensonges de la vérité

     

     LE MENSONGE DE LA VERITE
    Paradoxes du désir


    Un jeune homme idéaliste avait un jour entendu dire que la vérité était une femme jeune, belle et désirable. Si désirable que l’homme suffisamment heureux pour faire sa rencontre se trouverait à jamais comblé. Dès cet instant, le jeune homme sentit son cœur se gonfler de désir pour la belle inconnue, et il jura de consacrer sa vie à la trouver.
    Il la chercha d’abord dans les livres de sagesse et de philosophie, mais il découvrait sans cesse de nouveaux livres qui démentaient, preuve à l appui , les vérités publiées avant eux.
    Il la chercha alors dans les religions, car chaque religion prétendait posséder la vérité ultime ; mais cette vérité était ardemment contestée par les autres religions.
    Alors, il la chercha dans le vaste monde. Chaque fois qu’il arrivait dans une ville ou un village, il demandait :
     » Connaissez-vous la vérité ? Vit-elle ici ?  »
    Et à chaque fois, on lui répondait :
     » La vérité ? Oui, elle est passée par ici, il y a bien longtemps. Mais elle est repartie, et personne ne sait où elle s’en est allée.  »
    Lorsqu’il eut visité chaque ville de chaque pays, et que plus de la moitié de sa vie se fut écoulée, notre chasseur de vérité abandonna les hommes et se tourna vers la nature. Il interrogea longuement les arbres, les montagnes, les forêts, les océans, et également les oiseaux, les poissons, les mammifères et même les insectes. Il leur demandait :
     » Connaissez-vous la vérité ? Vit-elle ici ?  »
    Et arbres, montagnes, forêts, océans, oiseaux, poissons, mammifères et insectes lui répondaient invariablement, dans leurs langages propres :  » La vérité ? Oui, nous l’avons vu passer il y a bien longtemps. Mais elle ne s’est pas attardée, et qui sait où elle peut bien être à présent ?  »
    Le jeune homme était devenu un vieil homme, et il cherchait toujours la vérité. Après avoir épuisé les ressources de la sagesse, des hommes et de la terre, il parvint dans un grand désert de sable blanc. Et il interrogea le désert :
     » Sais-ru où se trouve la vérité ?  »
    Et le désert répondit :
     » Elle se trouve ici. Car je suis la vérité.  »
    Mais à force de chercher la vérité, le vieux noble avait appris à reconnaître les artifices et à éluder les tentations. Il sut aussitôt que le désert mentait, et il poursuivit sa route.
    Finalement, il parvint au bout du monde. L&agrave%3


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  • SPIRITUALITE : Quantité ou qualité

     

    Quantité ou qualité?


    La quantité, voilà ce que recherche la majorité des humains : quantité de nourriture, d’argent, de possessions de toutes sortes ; même dans l’amitié et dans l’amour, ils veulent la quantité. Et pourtant il faut savoir que la recherche de la quantité non seulement nous disperse et complique notre existence, mais encore contribue à développer notre nature inférieure en créant de plus en plus de désirs, de besoins. Elle entrave donc tout progrès spirituel et, avec le temps, elle entraîne la stagnation et la mort.
    La recherche de la qualité, au contraire, nous fait évoluer, car la qualité appartient à un ordre de choses supérieur, elle possède des vibrations plus pures, plus lumineuses, plus puissantes. Celui qui recherche la qualité se rapproche de longueurs d’onde de plus en plus subtiles, jusqu’à atteindre le point le plus vibrant, le sommet, l’esprit. On peut donc dire que la quantité appartient à la matière et la qualité à l’esprit.


    Omraam Mikhaël Aïvanhov


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