• CITATIONS D'AUTEURS

     

    Il n’y a que trois choses qui ne vieillissent pas : la lucidité, le sens de l’humour et la tendresse.


    Yves Montand


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    FLORILEGE : Platon

     

     "Connais-toi toi-même."

    "Dans tous les cas, mariez-vous. Si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux ; et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l'homme."

    "Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde."

    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."

    "Un trésor de belles maximes est préférable à un amas de richesses."

    "Il n'y a point de travail honteux."

    "Le bonheur c'est le plaisir sans remords."

    "Le temps malgré tout a trouvé la solution malgré toi."

    "Ce qui fait l'homme, c'est sa grande faculté d'adaptation."

    "Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue."

    "Ceux qui désirent le moins de choses sont les plus près des dieux."

    "Existe-t-il pour l'homme un bien plus précieux que la Santé ?"

    "Nous ne nous approchons de la vérité que dans la mesure où nous nous éloignons de la vie."

    Platon


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  • PROVERBES :

     

    Mieux vaut une chaumière où l’on rit qu’un château où l’on pleure.

    Proverbe chinois


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    SAGESSE :

     

    « Ce qui me surprend le plus dans l’humanité ce sont les hommes qui perdent la santé pour gagner de l’argent et qui après, dépensent cet argent pour récupérer la santé. A penser trop anxieusement au futur, ils en oublient le présent, à tel point qu’ils finissent par ne vivre ni au présent ni au futur. Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu ».

     Dalaï Lama


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    LETTRE AUX AMIS…

    Gabriel Garcia Marquez s’est retiré de la vie publique pour raison de santé…

    Il a envoyé une lettre d’adieu à ses amis : 

    “Si pour un moment Dieu pouvait oublier que je suis une marionnette de chiffon et me donner en cadeau une parcelle de vie, j’en profiterais le plus possible.”

    “Je ne dirais probablement pas tout ce que je pense mais sûrement je penserais tout ce que je dis.”

    “Je donnerais une valeur aux choses, non pas pour ce qu’elles représentent, mais plutôt pour ce qu’elles signifient.”

    “Je dormirais peu, je rêverais davantage, sachant que pour chaque minute pendant laquelle nous fermons les yeux nous perdons soixante secondes de lumière.”

    “Je marcherais alors que les autres s’arrêtent ; je me réveillerais quand les autres s’endorment.”

    “Si Dieu me faisait cadeau d’un petit peu de vie je m’habillerais simplement, je m’allongerais à plat ventre sur le sol mettant à nu non seulement mon corps mais aussi mon âme.”

     “Aux hommes je leur prouverais combien ils se trompent en pensant qu’ils cessent d’être amoureux en vieillissant, sans savoir qu’ils vieillissent quand ils cessent d’être amoureux.” “A un enfant je lui donnerais des ailes, mais je le laisserais apprendre à voler tout seul.”

     “Aux vieux je leur apprendrais que la mort ne vient pas avec la vieillesse mais plutôt avec l’oubli.”

     “J’ai tant appris de vous, les hommes…,J’ai appris que tout le monde veut vivre au sommet de la montagne sans savoir que le vrai bonheur est dans la manière de l’escalader.” “J’ai appris que lorsqu’un nouveau-né serre pour la première fois dans sa petite main le doigt de son père il le garde attrapé pour toujours.”“J’ai appris qu’un homme a seulement le droit d’en regarder un autre en bas quand il faut l’aider à se relever.”

     “Il y a tant de choses que j’ai pu apprendre de vous ! Mais réellement peu me serviront parce que quand elles seront rangées dans cette valise malheureusement je serai en train de mourir.”

     “Dis toujours ce que tu ressens et fais ce que tu penses.”

     “Si je savais qu’aujourd’hui c’est la dernière fois que je te vois t’endormir je te serrerais fort dans mes bras et je prierais le Seigneur de pouvoir être le gardien de ton âme.”

     “Si je savais que ce sont les dernières minutes que je te vois je te dirais “Je t’aime” et j’ignorerais, honteusement, que tu le sais déjà.”

     “Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne une autre opportunité de faire les choses bien; mais si je me trompe et que ce jour-ci est le seul qui nous reste, j’aimerais te dire combien je t’aime et que je ne t’oublierai jamais.”

     

    “Le lendemain n’est assuré pour personne, jeune ou vieux. Aujourd’hui ce peut être la dernière fois que tu vois ceux que tu aimes. N’attends donc pas davantage, agis aujourd’hui parce que demain n’arrivera peut-être jamais et que sûrement tu regretteras le jour où tu n’as pas pris le temps d’un” sourire, d’une étreinte, d’un baiser” et où tu as été trop occupé pour leur adresser un ultime souhait.”

     Garde auprès de toi ceux que tu aimes; dis-leur à l’oreille que tu as besoin d’eux; aime-les et soigne-les bien; prends le temps de leur dire “je te comprends”, “pardonne-moi”, “s’il te plaît”, “merci” et tous les autres mots d’amour que tu connais.”

     Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes. Demande au Seigneur la force et la sagesse de les exprimer.”

     “Démontre à tes amis et êtres chers combien ils comptent pour toi.”

    Gabriel Garcia Marquez( Ecrivain colombien)


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    BELLES HISTOIRES : La fleur de l'honnêteté

     

     LA FLEUR DE L'HONNETETE

     

     On raconte que vers l’an 250 avant J.-C. dans la Chine ancestrale, un prince de la région nord du pays, à la veille d’être couronné empereur devait, conformément à la loi, se marier.Sachant cela, il a décidé de mettre à « l’épreuve » les donzelles de la cour ou toute personne qui se trouvait digne de cette proposition. Le lendemain, le prince a annoncé qu’il allait recevoir dans une célébration spéciale toutes les prétendantes et leur lancer un défi.Une vieille dame, servante du palais depuis de nombreuses années, à l’écoute des commentaires sur les préparatifs, a senti une légère tristesse, car elle sait que sa jeune fille nourrit un sentiment de profond amour pour le prince. A son arrivée à la maison et après avoir raconté la nouvelle à sa jeune fille, elle est stupéfaite d’apprendre qu’elle voulait aller à la cérémonie et a demandé, incrédule :- Ma fille, que feras-tu là-bas ? Il s’agit de toutes les plus belles et plus riches filles de la cour. Ote toi de la tête cette idée stupide. Je sais que tu souffres beaucoup, mais que la souffrance ne devienne pas folie.Et la jeune fille répond :- Non, chère mère, je ne suis pas souffrante et encore moins démente. Je sais que je ne serai peut être pas choisie, mais j’aurai la chance d’être au moins quelques instants près du prince, ce qui me rend déjà très heureuse. Le soir de la cérémonie, au palais, il y avait, donc, toutes les belles et riches filles, parées de fines étoffes de soie, des plus beaux bijoux et les plus déterminés intentions.Puis, enfin, le prince annonça le défi :- Je vais donner une graine à chacune de vous. Celle d’entre vous qui, dans un délai de six mois, m’apportera la plus belle fleur, sera alors choisie comme mon épouse et future impératrice de Chine.La proposition du prince n’a pas failli à la profondeur des traditions du peuple, qui valorise beaucoup le savoir de « cultiver » quelque chose, que ce soit les traditions, l’amitié, etc. …Le temps passe et la douce jeune fille, qui n’avait pas beaucoup d’aptitudes dans l’art du jardinage, s’occupe avec grande patience et tendresse de son semis. Puisqu’elle savait que si la beauté de la fleur se présentait avec la même profondeur que son amour, elle n’avait pas besoin de s’inquiéter du résultat.Trois mois ont passé et la graine n’a toujours pas germé. La jeune fille a tout essayé, en utilisant toutes les méthodes qu’elle connaissait, mais rien n’a poussé. Jour après jour, elle concevait son rêve un peu plus lointain, mais son amour est de plus en plus profond. Enfin, les six mois se sont écoulés et rien n’a poussé. Consciente de ses efforts et de son dévouement, la jeune fille annonce à sa mère que, indépendamment des circonstances, elle retournerait au palais. Puisqu’elle n’aspire à rien d’autre que quelques minutes de plus en compagnie du prince.Et le moment venu, elle est là ; son pot vide, parmi toutes les autres prétendantes, chacune avec de fleurs, toutes plus belles les unes que les autres, de formes et de couleurs variées. Elle était contemplative, jamais elle n’avait vu de si belle scène. Arrive le moment tant attendu, et le prince considère chacune des prétendantes avec beaucoup de soin et d’attention. Après être passé devant toutes, une par une, il annonce le résultat et montre sa belle et future épouse. Les convives ont été offusqués du choix du prince.Personne n’a compris pourquoi il avait choisi celle qui n’avait rien « cultivé ».Alors, le prince explique calmement :- Celle-ci a été la seule à « cultiver » la fleur qui la rend digne de devenir impératrice. La fleur de l’honnêteté, parce que toutes les graines qui ont été distribuées étaient stériles.

     

     


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