• "Travailler dur n'a jamais tué personne, mais pourquoi prendre le

    risque?"

     

    "Le travail est pour moi la chose la plus sacrée !!......

    c'est pour ça que j'y touche pas !!!"

     

    L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le

    fatigue" 

     

    "Le travail est l'opium du peuple et je ne veux pas mourir drogué"

     

    "Si le travail c'est la santé, je préfère encore être malade"

     

    "Le 1er mai, c'est la Fête du Travail. Mais pourquoi a-t-on congé

    alors ce jour-la ?"

     

    Beaucoup trop payé pour ce que je fais, mais pas assez pour ce que je

    m'emmerde."

     

    "Le travail d'équipe est essentiel. En cas d'erreur, ça permet

    d'accuser quelqu'un d'autre."

     

     Se taire en classe ou au boulot, c'est respecter le sommeil des autres.

     

    "Si tu as envie de travailler, assieds-toi et attends que ça passe"


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  •                                                                          

    POEMES D'AUTEURS

                

    Trois choses rafraîchissent le coeur et délivrent du chagrin: l'eau, les fleurs, la beauté féminine.

    Proverbe sanskrit


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  • POEMES D'AUTEURS : Hymne à la beauté

     

    HYMNE A LA BEAUTE

     

    Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
    Ô Beauté ? ton regard infernal et divin,
    Verse confusément le bienfait et le crime,
    Et l'on peut pour cela te comparer au vin.

    Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore;
    Tu répands des parfums comme un soir orageux;
    Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
    Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.

    Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
    Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien;
    Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
    Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.

    Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques;
    De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
    Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
    Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.

    L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
    Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
    L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
    A l'air d'un moribond caressant son tombeau.

    Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
    Ô Beauté, monstre énorme, effrayant, ingénu!
    Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
    D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?

    De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
    Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
    Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! -
    L'univers moins hideux et les instants moins lourds.

    Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal


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    L’amour sacré et la raison.

     

    O mon cœur ! renonce un moment à ce corps fait d’argile et d’eau ; puis appelle à l’amour divin tous ceux qui vivent par le cœur ; allume le flambeau de l’âme à la lumière de l’amour ; apprends donc de ton Bien-Aimé le psaume de l’amour sacré. Dis, semblable à la chanterelle les mystères de cet amour.. Révèle ces secrets comme le rossignol qui ne peut parler notre langue ; déclame, tel David, le verset propre à ceux qui sont égarés par l’amour ; récite à ceux qui sont épris le psaume de l’amour sacré ; fais du récit de cet amour le rosaire de ceux qui aiment ; livre donc ton cœur et ton âme pour satisfaire leur désir ; consume-toi, pareil à du bois d’aloès, dans le feu de l’amour sacré ; fonds et consume-toi, pareil à la chandelle. Dans la coupe de la raison, verse le nectar de l’amour, et que ton âme en boive une seule gorgée. Lorsque l’amour est venu, rends aveugle ta raison ; par le cautère de l’amour, imprime une marque sur toi. La raison, c’est comme de l’eau ; et l’amour, c’est comme du feu : entre eux l’accord est impossible. La raison ne perçoit que le monde apparent ; mais l’amour ne perçoit que son dieu bien-aimé. La raison, c’est un passereau dans le filet de la faiblesse ; quant à l’amour, c’est le phénix qui s’élève aux pensées sublimes. La raison n’est que la préface du vaste recueil des mystères ; mais l’amour, avec élégance, en est le distique essentiel. La raison, c’est le fruit nouveau du jardin qu’est l’esprit humain ; mais l’amour, c’est la perle rare brillant dans la,, nuit comme lampe. La raison, c’est l’argent comptant au palais de la création ; mais l’amour est pour notre vie une pierre philosophale. La raison montre les dehors de tout ce qui nous environne ; mais l’amour qui est impétueux ne se soucie point de cela. On met sur la raison le froc des exigences, mais on revêt l’amour d’une robe d’honneur. La raison veut la méthode qui nous enseigne l’éloquence ; mais l’amour ne veut qu’un soupir qui mette en feu toute notre âme. Si la raison nourrit et façonne notre âme, l’amour est comme un feu qui joue avec notre âme. La raison est l’enfant ; l’amour, le maître d’œuvre : entre eux la différence est incommensurable.

    (ATTAR, Asrâr-nâmè, éd. Téhéran, 1298/1881, p. 36.)


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  • POEMES D'AUTEURS

     

    LE PINARD APRES LE CORBILLARD

     Il a crevé le richard
    Qui s'goinfrait de caviar
    Empestait le gros cigare
    Cet adorateur du pouvoir
    Lui l'ancien campagnard

    Il est parti hagard
    Sur son lit de ringard
    Cerné par sa lignée de bâtards
    La bonne crème des fêtards
    Longtemps asservis par le busard

    C'en est fini du rondouillard
    Ce bouffon égrillard
    Illustre politicard
    Qui méprisait les smicards
    Et crachait sur les clochards

    Ce soir son salon grouille de papelards
    Tous ces proches soûlards
    De vraies têtes de lézards
    Qui se remémorent le balbuzard
    Sans égards à coups de pinard

    Dans un coin, la veuve sans fard
    Ulcérée par le cafard
    Observe d'un oeil blafard
    Ces voyous soiffards
    Qui ont oublié de lui resservir son vin picard

    *Nomad*


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    Quand l'amour est motivé par l'instinct, il n'y a plus de place que pour la propriété, la domination ou la cruauté.

    *Nomad*


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  •  

     

    L'abbé ne fait pas le moine.


    On dit d'un accusé qu'il est cuit quand son avocat n'est pas cru.


    La culture c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale.

    Un homme travesti en vaut deux.


    Les politiciens, c'est comme les couches des bébés; il faut les changer régulièrement et ce, pour les mêmes raisons !


    L'amour c'est comme une maladie; ça finit toujours au lit !


    Les petites filles aiment les poupées, les petits garçons aiment les soldats. Plus tard… les grandes filles aiment les soldats, les grands garçons aiment les poupées.


    Mieux vaut arriver en retard qu'en corbillard !


    L'amour rend aveugle mais le mariage rend la vue....


    Chassez le naturiste, il revient au bungalow.


    La société est divisée en deux classes : ceux qui ont plus de dîners que d'appétit et ceux qui ont plus d'appétit que de dîner


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    A une jeune fille


    Vous qui ne savez pas combien l'enfance est belle,
    Enfant ! n'enviez point notre âge de douleurs,
    Où le coeur tour à tour est esclave et rebelle,
    Où le rire est souvent plus triste que vos pleurs.
     
    Votre âge insouciant est si doux qu'on l'oublie !
    Il passe, comme un souffle au vaste champ des airs,
    Comme une voix joyeuse en fuyant affaiblie,
    Comme un alcyon sur les mers.
     
    Oh ! ne vous hâtez point de mûrir vos pensées !
    Jouissez du matin, jouissez du printemps ;
    Vos heures sont des fleurs l'une à l'autre enlacées ;
    Ne les effeuillez pas plus vite que le temps.
     
    Laissez venir les ans ! Le destin vous dévoue,
    Comme nous, aux regrets, à la fausse amitié,
    A ces maux sans espoir que l'orgueil désavoue,
    A ces plaisirs qui font pitié.
     
    Riez pourtant ! du sort ignorez la puissance
    Riez ! n'attristez pas votre front gracieux,
    Votre oeil d'azur, miroir de paix et d'innocence,
    Qui révèle votre âme et réfléchit les cieux !
     
     Victor Hugo (1802-1885)


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  • .Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu.

    ·    Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité, ce qui est impertinence ; ne pas parler quand on y est invité, ce qui est de la dissimulation ; parler sans observer les réactions de l'autre, ce qui est de l'aveuglement.
    ·    Je n'ai pas encore vu un homme qui aimât la vertu autant qu'on aime une belle apparence.
    ·    L'homme sage n'est pas comme un vase ou un instrument qui n'a qu'un usage ; il est apte à tout.
    ·    L'ouvrier qui veut bien faire son travail doit commencer par aiguiser ses instruments.
    ·    Ne vous souciez pas de n'être pas remarqué ; cherchez plutôt à faire quelque chose de remarquable.
    ·    Quand on ne sait pas ce qu'est la vie, comment pourrait-on savoir ce qu'est la mort ?
    ·    Quand vous rencontrez un homme vertueux, cherchez à l'égaler. Quand vous rencontrez un homme dénué de vertu, examinez vos propres manquements.
    ·    Qui ne se préoccupe pas de l'avenir lointain, se condamne aux soucis immédiats.
    ·    Trois sortes d'amis sont utiles, trois sortes d'amis sont néfastes. Les utiles : un ami droit, un ami fidèle, un ami cultivé. Les néfastes : un ami faux, un ami mou, un ami bavard.
    ·    Ce qu'on sait, savoir qu'on le sait ; ce qu'on ne sait pas, savoir qu'on ne le sait pas : c'est savoir véritablement.
    ·    Celui qui est sévère envers lui-même et indulgent envers les autres évite les mécontentements.
    ·    Ceux dont la connaissance est innée sont des hommes tout à fait supérieurs. Puis viennent ceux qui acquièrent cette connaissance par l'étude. Enfin, ceux qui, même dans la détresse, n'étudient pas : c'est le peuple.
    ·    Il est parfois des moissons qui n'arrivent pas à fleurir ; il en est aussi qui, après avoir fleuri, n'ont pas de grain.
    ·    L'homme honorable commence par appliquer ce qu'il veut enseigner ; ensuite il enseigne.
    ·    La prodigalité conduit à l'arrogance, et la parcimonie à l'avarice. L'arrogance est pire que l'avarice.
    ·    La Vertu ne va jamais seule ; elle attire toujours des imitateurs.
    ·    Le sage est calme et serein. L'homme de peu est toujours accablé de soucis.
    ·    On s'égare rarement en s'imposant soi-même des règles sévères.
    ·    Rien ne sert de parler des choses qui sont déjà accomplies, ni de faire des remontrances sur celles qui sont déjà très avancées, ni de blâmer ce qui est passé.

    Confucius

     

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